Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)

samedi 26 août 2017

Une découverte agréable : Petros MARKARIS


Istanbul : destination de vacances idéale pour le commissaire Charitos et sa chère épouse Adriani. Mais le séjour est bientôt troublé par Maria, une nonagénaire qui aurait empoisonné son frère en Grèce avant de filer à Istanbul. Afin d'éviter l'incident diplomatique, Charitos est chargé d'enquêter aux côtés d'un jeune collègue turc : méfiance ancestrale au programme. Multiplication de cadavres, indices minces. La vieille Maria se déplace comme un fantôme et a toujours une longueur d'avance sur la police...


Petros Markaris est né en 1937 à Istanbul d'un père grec et d'une mère arménienne. Romancier, dramaturge, traducteur et scénariste, il se fait la voix de la Grèce d'aujourd'hui.
J'ai commandé ces deux livres au hasard et il se fait qu'ils se suivent.J'ai passé un bon moment de lecture agréable  même s'il ne me fut pas toujours facile de suivre le commissaire dans le dédale  de Constantinople et  celui d'Athènes. 


À Athènes, plusieurs membres de l'élite financière sont décapités, et l'assassin couvre la ville de tracts exhortant les Grecs à ne pas payer leur dette aux banques. Le pays s'enfonce dans la crise : les salaires fondent, les commerçants ruinés se défenestrent... Le commissaire Charitos doit au plus vite confondre ce " Robin des banques ", que la population exaspérée commence à prendre en sympathie.

"Liquidations à la grecque", est avant "Le Justicier d’Athènes" et "Pain, éducation et liberté", le premier volet d'une trilogie qui reprend les enquêtes du commissaire Charitos et qui a lieu durant la "crise grecque". Le roman donne une bonne description de l'ambiance qui règne à Athènes depuis ces événements qui remplissent les journaux. L'intrigue est bien ficelée et se lit avec plaisir et légèreté, malgré le cadre socio-politique assez dramatique. Je trouve peu vraisemblable le soi-disant impact des affiches et auto-collants placés clandestinement dans Athènes, comme si ça allait faire trembler le gouvernement et les banques. Le reste de l'intrigue est mieux amenée. Mais je ne dirai rien de plus, à découvrir ". ( Amazon)



1 commentaire:

  1. Cela me semble intéressant... A découvrir donc ! Merci Danielle !
    Gros bisous

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vol(s) de papillon

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