Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)

samedi 24 juillet 2010

La petite famille d'Aïcha

Ils sont nés le premier juillet, à présent leurs yeux sont bien ouverts et ils commencent à s'aventurer tout doucement dans la maison...

Alfons MUCHA

Alfons MUCHA, né le 24 juillet 1860, à Ivancice , dans le sud de la Moravie. Il y a donc 150 ans ! Quelques lignes pour célébrer cet artiste majuscule fer-de-lance du mouvement Art Nouveau. Nous connaissons mieux ses affiches mais ses tableaux témoignent eux aussi de son talent. N'oublions pas les bijoux qui ont été façonnés par de grands orfèvres selon ses dessins ainsi que les meubles, la vaisselle,les vitraux... Une petite visite chez "Thé au jasmin."...pour d'autres illustrations :-)))) Pour plus de détails ( clic)

vendredi 23 juillet 2010

Combien de fois...

Vermeer de Delft

Combien de fois mon cœur a-t-il bercé ce rêve,

ce rêve frais et doux comme un frisson d’été,

du geste attendri qui caresse et soulève

le voile blanc d’un berceau d’osier ?

Ô rêve fugitif combien de fois perdu,

évanoui, sans trace, à chaque aube nouvelle,

enfant que ma pensée a tant de fois conçu,

tu bourgeonnes aujourd’hui

à ma branche charnelle !

Car je te porte en moi, mon fruit de plénitude, ainsi qu’un feu nouveau, un été prometteur !

Emprisonnant ta vie en dessous de mon cœur,

je la façonne maintenant en douce certitude

et l’âme imbibée de joie et de lumière,

j’attends que tu viennes,

toi,

ma floraison plénière,

mon bel enfant aux cheveux de soie

enchâsser tout le bonheur du monde

sous mon toit !

Danielle T. (texte protégé) extrait de Féminitude.

La ville des Eperons d'Or

Hôtel de ville de Courtrai ( clic)

le pont sur la Lys
Eglise Notre-Dame

jeudi 22 juillet 2010

Le vol du bourdon

Tout poudré d'or, le bourdon accomplit sa tâche avec beaucoup d'application et sans doute une certaine ivresse..

mercredi 21 juillet 2010

Pois de senteur..

Les pois-de-senteur sont volubiles et voluptueux, ils ont envahi notre lopin de terre et grimpent à l'assaut du rosier blanc qui, cent fois enlacé par leurs vrilles, en oublie de pleurer.

mardi 20 juillet 2010

Cimetière chinois de Noyelles

Si vos promenades d'été vous entraînent dans la Somme et non loin d'Abbeville, ne manquez pas de faire le détour qui vous conduira à Noyelles.Tout d'abord, la région est magnifique, les petites villes accueillantes et fleuries et puis il y a cet arrêt émotion qu'il faut faire pour comprendre combien la vie a été cruelle pour tous ces travailleurs( 90 000 ?),recrutés en 1916 par les Anglais et venus de si loin pour charger et décharger le matériel de guerre, pour creuser les tranchées, creuser des mines, déterrer des cadavres. On les appelait les " Célestes".
Au milieu des champs, silencieux, ce cimetière , comme tant d'autres, invite à la réflexion...

Eté !

Eté ! Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Il brûle tout, hommes et choses, Dans sa placide cruauté. Il met le désir effronté Sur les jeunes lèvres décloses ; Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Roi superbe, il plane irrité Dans des splendeurs d'apothéoses Sur les horizons grandioses ; Fauve dans la blanche clarté, Il brille, le sauvage Été.
Théodore de BANVILLE ( les Cariatides )

lundi 19 juillet 2010

C'est ainsi que naissent et meurent les jours sans toi.

Edmund Charles TARBEL Maintenant que le printemps est là, brumeux et bleu sur la vallée, j'aime monter jusqu'à ma chambre et y demeurer à regarder, dans la clarté confuse de la lampe, l'ombre de mon front recueilli qui s'allonge, s'amenuise et s'incline doucement. Et je reste là, immobile, écoutant en moi, essayant de saisir le passé.Ce passé si plein de toi, si vibrant de ton amour qu'il éclate aujourd'hui et jaillit du fond de moi, se répandant en flots innombrables sur mon front, mes bras, mon corps tout entier.Il réveille aussi le son de ta voix et l'étau de tes bras autour de moi! Mais je retombe dans mon silence confus et mon attente fiévreuse! Non, rien n'est perdu.Rien n'est changé. Tous nos mots sont encore là, nos espoirs aussi, nos renoncements, nos rêves et nos souhaits déçus, tous nos secrets voilés de brume mais vivants comme nos deux coeurs battants. Oui, mon Amour, tout est vivant ! Comme Toi! Comme moi! Et parce que la Vie n'est qu'écriture sur l'eau, traces de pas sur l'herbe, la Vie continue à travers joies et souffrances et notre amour continue de vivre à travers notre séparation. Tout ce qui reste en dehors de lui n'est que l'écho d'un écho ! Danielle T. Extrait de "Féminitude" texte protégé.

dimanche 18 juillet 2010

Et mon amie la rose...

Salades, salades, salades...

Salades et salades et salades.. Ecoute-moi Salades et salades et salades Je t'en prie Salades et salades et salades Salades et salades et salades Que tu sèmes au vent.... (Ici pas vraiment !!!!!) Sur un air connu...:-) Bon dimanche et excellentes salades pour le déjeuner..
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