Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)

dimanche 30 octobre 2011

Dimanche d'automne.


Une bonne semaine de congé pour profiter du soleil qui prend ses aises avant de laisser place aux brumes et à la pluie.  Depuis quelques jours, les gens passent les bras chargés de fleurs. On n’attend plus » le jour dit »pour fleurir les tombes de nos disparus. Il y a  une quarantaine d’années, la rue était encore encombrée, bloquée par les voitures. Aujourd’hui, la circulation est aussi fluide que celle d ‘un dimanche normal, il en sera de même mardi. Les traditions ne se perdent pas tout à fait, on les ""ajuste"" un peu..   et puis l’affection et le souvenir se gardent au fond du cœur. C’est ce que j’expliquais, hier encore, à mes petites.Il fait  beau et le cimetière fleurit sous le soleil.

Bon week-end !!!

2 commentaires:

  1. Oui, au fond du coeur, à chaque instant de la vie, pour que jamais personne ne meurt, de ceux qu'on a tant aimés hier et encore aujourd'hui... Oui, je me souviens de ces jours de souvenir officiel, la place du village était pleine de gens en tenue sombre avec dans les bras d'immenses potée de gros chrysanthèmes jaunes ou blancs, parfois rouges...

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vol(s) de papillon

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