John William WATERHOUSE (1902)
Ô toi, mon coeur de nuit,
tourné vers le dedans,
lové sur tes amours
et voué aux serments,
et, toi, mon corps de sel,
avec ton chant profond
de source originelle,
à pas jumeaux nous faisons route
à la recherche du lointain,
du fuyant et de l'incertain.
Dieu, seul, sait jusqu'où nous irons,
dans quel sentier osseux
bordé d'ivraie et d 'herbes sèches,
nous trouverons l'oubli des brèches,
des déchirures de la Vie.
**
Danielle T. in "FEMINITUDE
texte protégé
Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)
vendredi 15 octobre 2010
Coeur-à corps..
John William WATERHOUSE (1902)
Ô toi, mon coeur de nuit,
tourné vers le dedans,
lové sur tes amours
et voué aux serments,
et, toi, mon corps de sel,
avec ton chant profond
de source originelle,
à pas jumeaux nous faisons route
à la recherche du lointain,
du fuyant et de l'incertain.
Dieu, seul, sait jusqu'où nous irons,
dans quel sentier osseux
bordé d'ivraie et d 'herbes sèches,
nous trouverons l'oubli des brèches,
des déchirures de la Vie.
**
Danielle T. in "FEMINITUDE
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j'aime beaucoup,
RépondreSupprimerle travail de W WATERHOUSE,
bon week end DANIELLE,
bisessss