Qui a perdu les quelques noix qui ont fait germer, près de la vieille borne, un jeune noyer qui d'année en année prend de l'envergure.
Il n'est pas encore "un grand" mais cette année, j'ai trouvé,
oubliée dans l'herbe drue , une noix!
D'autres promeneurs , et ils sont nombreux à fréquenter "mon" sentier, ont sans doute été plus chanceux.
Et pour le plaisir d'apprendre ou de redécouvrir : Ovide et son élégie du noyer.
A bientôt!
As-tu, toi aussi, composé une petite élégie à ton noyer?
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas le texte d'Ovide. Je trouve toujours émouvant de constater que ce qui touche à la nature ne prend pas une ride en traversant les siècles...
Bonne journée Danielle.
Je t'embrasse.
Moi non plus, je ne connaissais pas le texte d'Ovide.Moi je me disais que peut être Virgile aurait pu célébrer ce bel arbre..J'ai lu le texte d'Ovide attentivement, tout est si bien expliqué , et tellement imagé.Et comme tu dis, toutes ces réflexions n'ont pas pris une ride.C'est nous qui sommes moins vigilants, moins attentifs.
SupprimerBonne fin de semaine.Je t'embrasse.
Je ne connaissais pas, moi non plus, ce texte... Je ne connais pas beaucoup d'ailleurs de textes d'Ovide! Par delà le style "fatigant", j'ai bien aimé cette supplique! On dit son ombre froide, mais pourtant, mon grand père en avait un immense qui abritait son pressoir... J'aimais y jouer, à la recherche d'une noix oubliée dans l'herbe. Des souvenirs heureux qui me font aimer l'arbre - et son fruit!
RépondreSupprimerTon noyer a encore toute sa vie devant lui... Il est déjà superbe, sur le bord du chemin...
tu vois moi, en trouvant le texte, je pensais Virgile...que l'on étudie davantage.et comme toi, je ne trouve pas que le noyer soit un arbre dont l'ombre est froide.Au contraire, la lumière joue avec ses feuilles
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