L'eau d'Heure, ainsi nommée parce que, en cas de pluies abondantes, l'eau avait tendance à monter très vite et à noyer les prés environnants.La construction d'un grand barrage, en amont, a régulé le cours de cette jolie rivière rustique.
La nostalgie du pécheur...
La ligne du chemin de fer vers Paris !
J'avais 6 ans lorsque l'idée vint à mon père de m'apprendre à nager.Pour ce faire, comme il n'avait pas de bouée, il gonfla la chambre à air d'une roue de vélo et m'emberlificota dedans.
Et il me jeta à l'eau, juste à cet endroit.Je ne saurais l'oublier!
Mes cris alertèrent quelques personnes du voisinage et mon père, confus, n'eut plus qu'à sauter à l'eau pour me récupérer.
Je ne vous raconte pas la colère de ma grand-mère quand , en pleurs et commotionnée , je suis rentrée à la maison ( proche de l'endroit de la presque noyade) .Mon père en prit pour son garde.
Je n'oserais pas répéter les qualificatifs que sa mère lui envoya à la tête.
Résultat, j'eus longtemps peur de l'eau et j'avais au moins 12 ans quand, obligation scolaire, je descendis, une marche à la fois et très lentement, vers l'eau bleue et chlorée d'une piscine africaine!
Suivre le chant de la rivière... J'aime !!!
RépondreSupprimerUne belle balade que tu nous offres là !!!
A bientôt Bises
Une balade qui aurait pu n'être que romantique, sans la piquante anecdote finale!
RépondreSupprimerTu vis vraiment dans un très bel environnement Danielle!
RépondreSupprimerQuant à ton apprentissage de la nage, il commença de façon...originale!
Je crois que j'aurais crié très fort moi aussi, mais plus à cause du froid....brrrr
Bises et bonne soirée
Il y avait La ferme africaine de Karen,
RépondreSupprimerMaintenant, il y a La piscine africaine de Danielle !!!
J'aime bien les rivières, à tel point que je suis heureuse maintenant de vivre entre deux, et pas des moindres, qui rejoignent toutes les deux, à quelques pas de chez moi... la mer, m'isolant ainsi dans une presqu'ile encore sauvage !
Bises