Cécile :14 avril 1970
Les vacances de Pâques se terminent sur une note familiale..distribution de cadeaux et de bisous.
Beau dimanche...on nous l'annonce ensoleillé....
Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)
Qu'il n'y ait que les gens de pied qui puissent passer par l'ancienne piedsente. Édit, à Lille, 1715, dans H. CAFFIAUX, Essai sur le régime économique du Hainaut, p. 417]( LITTRE).
Photo de Jean-Pol GRANDMONT pour Wikipedia |
Dora Maar dans un fauteuil |
Gaston BERRY : Jonquille (in : Chanter quand même...)
- Honneur à vous, fraîches jonquilles,
- Corps d'émeraude et cloches d'or !
- Du Renouveau coquettes filles,
- Vous êtes timides encore !...
- LA JONQUILLE
- Voici que s'ouvrent les Pervenches,
- Le gazon court sur les coteaux ;
- A l'aube on entend, sur les branches,
- Chanter en chœur les passereaux.
- Dans les prés verts, en robes blanches,
- Les jeunes filles - gais oiseaux -
- Vont venir danser, les dimanches,
- Aux sons des joyeux chalumeaux.
- Nés du soleil et des rosées,
- Déjà les Lilas, dans les airs,
- Balancent leurs grappes rosées,
- Et l'on voit près des ruisseaux clairs,
- - Qu'elles effleurent de leurs ailes -
- Voler les vertes demoiselles.
- Aux zéphirs il est temps, mes sœurs,
- D'entr'ouvrir nos fraîches corolles ;
- Et, bien qu'ils soient légers, frivoles,
- De livrer nos douces senteurs.
- Car, - souriant ou l'œil en pleurs -
- L'Amour, bientôt, pour ses symboles,
- Va nous demander des paroles,
- Comme à toutes les autres fleurs.