Persegada, cotognata, pâtes de coings
ou comment occuper le dernier dimanche d'un octobre flamboyant.
Des coings, bien entendu...que j'ai pelés ( la peau n'était pas très belle), coupés en quatre et mis à cuire doucement afin d'enlever plus facilement les coeurs .
Découpés en morceaux, pesés et accompagnés d'une belle gousse de vanille et de leur poids en sucre fin , ils m'ont donné au bout de 45 minutes de cuisson cette belle pâte mordorée.
Croisons les doigts pour que cette pâte sèche bien !
Dans quelques semaines , je pourrai la découper en petites étoiles ou en petits coeurs qui accompagneront
les salades folles au foie gras .
Tradition(clic)
Bravo ! Quel courage que je n'ai pas eu cette année alors si je passe par chez toi et que je sens cette odeur sucrée....
RépondreSupprimerLa pâte de coing, une friandise que je pourrais consommer à longueur de journée, j'adore ! Mais je n'en ai jamais fait faute d'avoir des coings, mais je me suis promis de planter un cognassier dans mes jardins, prochainement, c'est un si bel arbre au printemps, avec ses fleurs blanc rosé !
RépondreSupprimerMa pâte est bien réussie cette année..elle commence déjà à sécher.Je dois maîtriser ma gourmandise naturelle.
RépondreSupprimerColibri...je n'ai pas de cognassier dans mon petit jardin...j'achète mes fruits sur le marché , d'abord , ils servent de décoration, ensuite ils passent à la casserole,:-)))