Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)

lundi 15 juillet 2013

J'ai lu...

Un roman qui a du "chien" Le comte de Bleuse intrigue pour se venger de l'affront du roi. Il attend une lettre qui fera scandale et mettra Henri IV dans une position fâcheuse. Pour ce dernier, la situation est critique en cette fin d'année 1594. Il a besoin, avec sa conversion, de l'absolution du pape Clément VIII pour asseoir son autorité sur tous ses sujets. Or, pour tenter d'arrêter les guerres religieuses, il avait écrit une missive, destinée à Elisabeth, reine d'Angleterre, où il évoquait le projet de réunir un concile et de placer l'Église sous sa seule autorité. Ce plan, ancien, n'est pas daté et n'a jamais été envoyé à sa destinataire. Mais le document a disparu avec La Fourmi, le meilleur espion du royaume. Le roi charge son chancelier de tout mettre en œuvre pour récupérer cette lettre, véritable déclaration de guerre au pape. C'est à Gilles Bayonne, un chevau-léger, que revient la mission. Celle-ci s'avère encore plus délicate quand on découvre Bleuse, crucifié dans une église de Rouen, des hosties plein la bouche !


Fabienne Ferrère, qui livre dès le début nombre d'éléments clé, élabore une histoire forte où elle multiplie les péripéties. Elle fait vivre à son héros mille avanies, presque autant qu'il en cause à autrui. Elle construit un personnage attachant, humaniste malgré les apparences. Construit comme un thriller, superbement écrit, ce roman emporte l'adhésion par sa vision réaliste de l'époque et par la tonicité de son intrigue.

 Ce qu'il faut savoir sur la série
Gilles Bayonne est chevau-léger dans l’armée royale d’Henri   IV. Sa bravoure le fait remarquer par le comte de   Cheverny, chancelier du Roi, qui lui confie des missions épineuses. Sa sagacité, son don d’empathie, sa capacité d’écoute et d’analyse lui permettent de conclure, non sans souffrances, des enquêtes complexes et délicates.


***



""Professeur de philosophie à Toulouse, Fabienne Ferrère signe  un premier roman qu’on lira comme un roman de genre, dans la lignée des grands romans d’aventure du XIXe siècle, tels qu’ont pu en écrire des auteurs populaires comme Alexandre Dumas et Paul Féval. Ici, la recette tient dans le savant mélange du registre historique (les turbulences entre catholiques et protestants à la fin du XVIe siècle) et du genre cape et épée, avec comme figure de proue du récit un certain Gilles Bayonne, chevau-léger et enquêteur de choc.
Au rendez-vous de ce texte très cinématographique à la langue vive et plutôt agréable, parchemin mystérieux et bénitiers souillés de sang, assassinats dans la bonne ville de Rouen, malédictions et complots politiques visant Henri IV, hypothèse d’un embrasement fanatique du pays… De quoi embarquer le lecteur dans une suite d’aventures menées au galop par le tonique Gilles Bayonne.
Les amateurs du genre ne seront pas déçus.""

Je terminais la lecture de quelques enquêtes menées à Pompéi.J'avais pris plaisir à retrouver des personnages croisés , il y a longtemps, quand versions et thèmes étaient au programme.J'avais envie de changement. Quelques recherches sur le net, des résumés et des appréciations qui retiennent mon attention.Je commande un premier livre et dès les premières lignes , je sens que les commentaires trouvés sur le net  disent vrai.Alors, oui, j'ai bien aimé, au point que je n'ai pas tardé à commander la suite des aventures de Gilles Bayonne.

Dans le Paris de 1595, le chevau-léger Gilles Bayonne mène de nouveau l'enquête pour le compte du chancelier d'Henri IV. Cette fois-ci, des meurtres d'une rare sauvagerie ensanglantent le quartier de la Grande-Boucherie. Après le père Vuillard, dont la dépouille est retrouvée dans un tonneau, vient le tour d'Hugues Rivière. A chaque fois, des bêtes pour bourreau, et, à chaque fois, la mort frappe sous la forme la plus redoutée par les victimes. Quel lien existe-t-il donc entre Vuillard et Rivière ? Peut-être une sordide histoire vieille de quinze ans... Talonné par les sicaires du chancelier bien décidés à lui faire rabattre sa superbe, menacé par les commissaires du Châtelet furieux de se voir boutés hors de leur territoire, Gilles Bayonne, toujours secondé par son fidèle page Pique-Lune, ira de mensonge, en trahison et de doute en doute avant de pouvoir regarder la vérité en face : et si le meurtrier qu'il traque n'était pas le monstre qu'on dit ?

***
Alors, mon avis?

Tout d'abord, c'est bien écrit, bien documenté.L'écrivain connaît très bien la période qu'elle a choisi d'évoquer .Nous suivons le héros à la trace, et c'est peu dire quand on connaît  les moeurs, les coutumes de ce temps-là.
C'est léger sans être fade, c'est cultivé sans être trop savant.

Une lecture plaisir... j'en ai quelques autres en réserve.

dimanche 14 juillet 2013

Quand Melle Lili découche..





Mademoiselle Lili s'est offert une escapade nocturne.La belle est revenue vers 5h30 du matin...comme si de rien n'était et nous a trouvé les yeux globuleux de ceux qui n'ont pas beaucoup dormi..:-)
Elle était prête à repartir..mais il n'en était pas question..nous avions besoin de dormir à fond..une heure ou deux; ce qu'elle nous a permis....mais elle nous a fait comprendre qu'elle n'appréciait pas.
Et, peuchère,  elle a de la voix..:-(
Bon...ce qui nous inquiète ce sont les " grosses" bêtes qui rodent la nuit et qui  feraient du mal à cette demoiselle que nous allons bien surveiller ce soir. Et ce d'autant mieux que dimanche dernier , sa maman, Aïcha, est rentrée salement blessée au bas du dos.La plaie a dû être recousue lundi matin et elle n'est pas belle à voir ...un piège?


Sur ce passez un beau dimanche.
Ils se suivent et ne se ressemblent pas..
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...