Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)

samedi 15 septembre 2012

Une histoire de moustaches???

 Moi, je pensais que les moustaches étaient directement proportionnelles au QI.Et bien, il y a doute...
car si j'en crois l'infirmière de mon copain Virgile  (clic), les moustaches seraient proportionnelles au tour de taille.

 Vous m'en direz tant!
Lorsque je  donne des baisers à monElle endormie, mes moustaches lui chatouillent les narines alors ...elle se réveille et je peux m'installer comme j'en ai envie.
C'est bien utile les grandes moustaches, les cils...etc....
Bon samedi à toutes et tous



vendredi 14 septembre 2012

Adieu à l'été..?

 White Dorothy Perkins



" On dirait une rose blanche
Qu'aurait fait rougir de pudeur,
En la lutinant sur la branche,
Un papillon trop plein d'ardeur."
T.Gauthier

C'est probablement la dernière de la saison. Le rosier pleureur a beaucoup souffert durant  l'hiver et même s'il s'est montré généreux durant la belle saison, je sens qu'il arrive à présent au bout de ses réserves.  Je n'ai pas cueilli cette belle rose, un peu flétrie déjà par la pluie, j'ai choisi de garder son image et de la partager avec vous qui aimez les roses, je le sais!
           
rosa -rosa - rosam -rosae - rosae- rosa :-)

jeudi 13 septembre 2012

Le sureau et moi...

C'est la saison, le sureau est mûr à point, les oiseaux font bombance..quand  Melle Lili n'est pas dans les parages.
Oui, je sais, faire des photos du sureau, c'est tout sauf original.D'autant que chaque année, c'est pareil.Je  déambule dans le jardin, APN en mains et voilà...clic, clac...je te mets tout cela en boîte.Pour le fun, voilà!
Quoique, entre le sureau et moi...il y a un souvenir à la fois loufoque et cuisant..peut être un jour, me laisserais-je aller à la confidence.Qui sait???Non, non, n'insistez pas, c'est de l'ordre du privé..vous dis-je , je ne sais pas si je peux..:-))))

mercredi 12 septembre 2012

Entre cousines..

Pendant que papa "grille" ses 44 ans , les filles s'en donnent à coeur joie avec leurs cousines.
Deux blondes pour moi !




Pendant qu'elles jouent à celle qui sautera le plus haut...
Moi, je boulotte les gaufres-maison..
Ah, la folle jeunesse, sa souplesse et sa ligne mannequin.
.( sanglots et larmes de crocodile)
 :-)) LOL!!!!

lundi 10 septembre 2012


 Un beau dimanche ensoleillé, les tables dressées dans la "corte"...le " jubilaire" devant le barbecue...,brochettes, légumes grillés,gaufres et tartes maison etc....bref une belle ambiance familiale.

Et oui,Linda,  beaucoup de fêtes ces dernières semaines.Certaines célébrant un anniversaire, d'autres organisées juste pour le plaisir d'être ensemble , de partager quelques heures volées au temps qui passe de plus en plus vite.
Or donc, hier, nous fêtions l'anniversaire  du papa de mes petites, l'entrée en secondaire de Justine et nous en avons profité pour" baptiser " officiellement "Mademoiselle Lucy! 

 Elle est volontiers câline, très sociable..

Elle a pu profiter de la pelouse, jouer avec les feuilles
avant de prendre un repos bien mérité !
Et pendant ce temps-là...
Victor boudait dans son coin

et Aïcha aussi!

dimanche 9 septembre 2012

Pour un dimanche bleu...

George MORREN

George (ou Georges) Morren (né à Ekeren le 27 juillet 1868  et mort à Bruxelles le 21 novembre 1941  
Fils d'un riche négociant en céréales à Anvers il recevra les rudiments d'une formation artistique. Le peintre Emile CLAUS (1849-1924) lui sert de précepteur artistique 



""La démarche artistique de George Morren est essentiellement celle d'un impressionniste. Serein, sûr de lui, amoureux de la lumière, servi par une grande science du dessin, l'artiste ne sacrifie jamais la forme; on devine dans l'ensemble de son œuvre un artiste réfléchi mais enthousiaste, qui s'analyse dans ses élans.
On a voulu voir en lui un élève du luministe Emile Claus. Même si ce dernier a guidé ses premiers pas, Morren est vite séduit par l'art français. Sa rencontre avec les impressionnistes est le grand événement de sa vie artistique. Il s'essaie à diverses techniques, du néo-impressionnisme à la Seurat au postimpressionnisme des années trente, tout en restant attaché au terroir. L'originalité de Morren est d'avoir assimilé une technique et un esprit sans se laisser assimiler lui-même. C'est l'œuvre d'un homme pour qui la joie de vivre comporte surtout la joie de peindre et si l'on peut découvrir des changements dans son parcours artistique, ils ne sont que de surface et de manière. Car l'artiste n'a jamais changé sa vision des choses; vision heureuse, optimiste qui trouve dans le délicat ensoleillement de certains paysages ou dans la lumière tamisée des intérieurs, l'expression de ce que représente pour lui la douceur de vivre.""





 Passez un beau dimanche.
Chez nous, il est consacré au Patrimoine wallon.
Et fête familiale..en plus.
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