Comme un papillon, j'oublie le temps qui me reste et où la vie me conduit.Quelle importance, j'ai le coeur immense et le monde est petit. Ce qui compte, c'est d'avoir envie ( F.Gall)

samedi 19 juin 2010

Paeonia

" Les pivoines laissent tomber toutes à la fois leur brasier de pétales avec un soupir de fleur qui imite presque le trépas d'une "rose" COLETTE

Noir c'est noir..

" Promis, je ne mange pas tous les poissons."
"Tu vois, j'en ai laissé" :-)

Prise sur le vif...

Une craintive seconde, le poids
De l’âme libre ou d’un ange.
(Frédéric Kiesel)

vendredi 18 juin 2010

Pour la fête de la musique

Symphonie pastorale
A Aurore, La nature est tout ce qu'on voit Tout ce qu'on veut, tout ce qu'on aime, Tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit Tout ce que l'on sent en soi-même * Elle est belle pour qui la voit. Elle est bonne à celui qui l'aime Elle est juste quand on y croit Et qu'on la respecte en soi-même. * Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t'aime. La vérité, c'est ce qu'on croit En la nature, c'est toi même. George SAND

Le sureau est en fleurs

Au bout du jardin, adossé au vieux mur, le sureau est en fleurs Hier,chez mon amie, Annette, les fleurs étaient dans mon assiette. Une glace tournée à la minute onctueuse et fondante. La gourmande que je suis n'a pas résisté à cette délicate gourmandise. MERCI pour le deuxième service . C'était ..plus...que parfait !

mercredi 16 juin 2010

A Francis Jammes

"" Deux ancolies se balançaient sur la colline. Et l'ancolie disait à sa soeur l'ancolie : Je tremble devant toi et demeure confuse. Et l'autre répondait : si dans la roche qu'use l'eau, goutte à goutte, si je me mire, je vois que je tremble, et je suis confuse comme toi. Le vent de plus en plus les berçait toutes deux, les emplissait d'amour et mêlait leurs coeurs bleus."
Francis Jammes

Quitter la grand'route

On quitte la grand' route et l'on prend le sentier

Où flotte un bon parfum d'arôme forestier

Nul horizon. Le long de cette sente étroite,

Une futaie à gauche, un haut taillis à droite.

Au-dessus le ciel bleu

Que traverse parfois dérangé dans son gîte

Un oiseau voletant, qui siffle dans sa fuite

d'après Henri de REGNIER

mardi 15 juin 2010

COMME UN PAPILLON...



Comme un papillon,
j'oublie le temps qui me reste

et où le Vie me conduit.
Quelle importance

j'ai le coeur immense
et le monde est petit.
CE QUI COMPTE, C'EST D'AVOIR ENVIE !




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